Il adhéra à la SFIO au lendemain de la guerre et rejoignit le Parti Communiste dès sa création au congrès de Tours.
Congédié pour fait de grève en 1919, il fut alors obligé d'exercer des métiers peu en rapport avec sa qualification et sa famille fut réduite à une situation proche de la misère.
En 1921, il fut élu secrétaire du syndicat des métallurgistes de l'usine Sartiaux à Hénin-Liétard, en remplacement du socialiste Semens. Il affilia l'année suivante son syndicat à la Fédération CGTU des métaux.
Fondateur avec Pascal Marouzé de la section communiste d'Hénin, il en fut l'un des principaux animateurs dans l'entre-deux-guerres avec Nestor Calonne.
François Candelier siégea au conseil municipal d'Hénin-Liétard de 1919 à 1925.
Il est décédé le 15 novembre 1950 à Hénin-Liétard.