Jean-Bernard Deshayes, premier adjoint complice jusqu'au bout de Gérard Dalongeville malgré les rapports accablants de la Chambre Régionale des Comptes prouvant les trafics et les entourloupes de son "patron" a refusé sous des prétextes fallacieux de louer la salle Wilquin au PCF par mesure de rétorsion après mon vote contre le budget insincère qu'il a présenté le 30 avril dernier.
Ce triste personnage qui a abandonné sans états d'âme ses anciennes convictions pour un poste d'adjoint en veut à mort au Parti Communiste qui l'a désavoué et a mené un travail sérieux d'allié minoritaire critique à l'intérieur de la majorité sous la direction de Marie-Serge Opigez jusqu'en 2005 puis de David Noël à partir de mars 2008. Haineux, Jean-Bernard Deshayes a toujours considéré que "un élu, ça ferme sa gueule ou ça démissionne", comme il me l'a dit avec l'élégance qui le caractérise lors d'un bureau municipal houleux en septembre. Jean-Bernard Deshayes a visiblement choisi d'appliquer ce principe pendant huit ans. Quelle honte pour lui !
La pitoyable vengance de Jean-Bernard Deshayes à l'encontre du PCF a fait long feu. Notre meeting se tiendra bien le 29 mai dans le bassin minier, à 19h, salle Houdart, à Lens.
Quatre ans après la défaite des partisans du Oui, le PCF Hénin-Beaumont appelle tous les électeurs du Non de gauche dont le vote a été bafoué à participer à ce grand meeting de campagne et à voter pour la liste du Front de Gauche conduite par Jacky Hénin.