Paradoxalement, le leader de l'extrême droite a été un des premiers à reconnaître que nous étions bien des adversaires de Dalongeville. Dans son tract Hénin-Beaumont Vérité de septembre 2009, Steeve Briois écrit : « La spécialité de Ferrari et de Noël est d’appeler les citoyens à voter pour des gens qu’ils combattent aussitôt élus. Ils ont fait voter Dalongeville puis Duquenne et maintenant ils les critiquent. »
« La majorité municipale exigeant à juste titre le retrait de son poste d'adjoint à Pierre Ferrari pour un manque récurrent de loyauté […] Le groupe majoritaire avait également décidé l'exclusion de David Noël pour son manque récurrent de solidarité » ajoutant après notre vote contre le budget 2009 : « Dès le lendemain, conformément à la décision du groupe majoritaire, le Premier magistrat retire par arrêté leurs délégations à Marie-Noëlle Lienemann et à David Noël pour leur manque de solidarité lors des votes mais surtout leurs comportements très ambigus depuis plusieurs mois ».
Ces nouvelles déclarations de Gérard Dalongeville, hommage du vice à la vertu, viennent réduire à néant la thèse malhonnête défendue notamment par Georges Bouquillon et le Front National, qui ne craint pas de se contredire, d'une pseudo complicité de notre part avec Gérard Dalongeville. Le principal intéressé reconnaît de manière incontestable que nous étions ses opposants. Que dire de plus ?