A Hénin-Beaumont, il n'y a plus un Héninois qui ignore que je n'ai jamais été ami avec Gérard Dalongeville, que nos relations étaient exécrables, que je n'ai figuré sur la liste Dalongeville que parce que c'était le seul moyen d'infliger une défaite cinglante au FN et dans l'idée de constituer aux côtés de Marie-Noëlle Lienemann une opposition interne. De la même manière, il n'y a pas un Héninois qui ignore que je n'ai jamais fait partie des "complices de Dalongeville". Guy Mollet, Jean-Pierre Chruszez, Claude Chopin, Roger Lenfle ou Jean-Bernard Deshayes étaient des complices de Dalongeville. Depuis 2001, beaucoup d'entre eux ont dû voir passer des bons de commande toxiques quand ils ne les ont pas signés. Jean-Pierre Chruszez truquait les budgets.
Jamais je n'ai été un complice de Dalongeville, je l'ai toujours combattu. Soupçonnant ses malversations, j'étais déterminé à tout faire pour trouver des preuves et abattre le système Dalongeville. C'est parce que je m'opposais fermement à Dalongeville que j'ai été viré du Bureau Municipal dès le mois de septembre 2008 avant de perdre mon poste d'adjoint après avoir voté contre le budget truqué de Dalongeville et Chruszez en mars 2009.
Mais Steeve Briois est un menteur et un manipulateur, c'est sa marque de fabrique. Après avoir trahi Le Pen pour Mégret en 1999, Briois a trahi Mégret et est revenu dans le giron lepéniste pour une place de conseiller régional bien rémunérée en 2004. On se souvient que Mégret et ses comparses critiquaient il y a dix ans l'autoritarisme de Le Pen et une dérive clanique et familiale du Front National. Briois qui partageait les critiques mégrétistes en 1999 est devenu dix ans plus tard le bras droit de Marine Le Pen appelée à succéder à son père à la tête du FN. Bel exemple de dérive clanique et de népotisme, mais cette fois, Briois, attiré par les prébendes n'y trouve plus rien à redire...
Au plan municipal, Steeve Briois multiplie les coups tordus, c'est aussi une marque de fabrique. En 2001 déjà, il rencontrait secrètement Dalongeville, la nuit, sur le parking de Babou pour échanger des informations contre Darchicourt. Steeve Briois est un spécialiste des pactes de non-agression souterrains. Avec Dalongeville en 2001, avec l'Alliance Républicaine en 2008... En 2001, le pacte de non-agression de Briois et Dalongeville connu dans tout Hénin comme "l'affaire Babou" a permis aux deux complices d'abattre Darchicourt, victime de toutes les rumeurs et de toutes les calomnies et a servi objectivement les intérêts de Dalongeville. Quoi qu'il puisse dire aujourd'hui pour s'en défendre, c'est bien Briois qui a fait élire Dalongeville !
Devenu opposant à Dalongeville, Briois montrera pendant des années sa nullité, sa méchanceté et son absence totale de scrupules avec des tracts orduriers, mélangeant 80 % de rumeurs de caniveaux et 20 % de vraies affaires. Briois s'est même fait une spécialité bien peu glorieuse, celle d'injurier ses adversaires politiques avec des sobriquets tous plus abjects les uns que les autres. Il faudra la venue de Marine Le Pen en 2007 pour calmer la fureur de Steeve Briois.
Avec Marine Le Pen, ce sera les tracts en papier glacé et toujours les mêmes mensonges et coups tordus, spécialité de Briois et Bilde. C'est ainsi qu'après avoir fait élire un mafieux en 2001, Briois et Bilde ont conclu un pacte de non-agression avec l'Alliance Républicaine pour abattre Dalongeville. Au passage, on remarquera surtout les drôles de méthodes de Marine Le Pen et de son contact à l'Alliance Républicaine, Georges Bouquillon, qui n'ont pas hésité à truquer un débat télévisé en se mettant d'accord pour attaquer Marie-Noëlle Lienemann.
Briois & Le Pen, c'est menteur & tricheuse !
Battu sur le fil, le FN a désormais les yeux rivés sur 2014 et un adversaire privilégié, l'équipe d'Un Nouvel Elan pour Hénin-Beaumont. C'est la raison de leurs attaques répétées contre nous. Malheureusement pour le FN, plus personne ne les croit. Les électeurs qui ont été abusés pendant la dernière campagne municipale et voté FN pour dire leur colère ont maintenant compris à quelle sorte de politiciens tordus ils avaient affaire. Apparatchik du Front National, le fourbe Briois est un professionnel de la politique, comme Marine Le Pen qui vit de ses indemnités d'élue et est obsédée par la présidentielle de 2012. Briois, Le Pen et leurs comparses tournent sur notre ville comme une nuée de vautours malfaisants.
Entachée par sa trahison de juin 2009, son sectarisme et surtout ses accords de non-agression passés avec le FN, l'Alliance Républicaine n'a plus la légitimité pour combattre le Front National et a montré sa légèreté au conseil municipal où on a vu les élus de l'AR voter les motions du FN.
Le PCF avec ses partenaires d'Un Nouvel Elan pour Hénin-Beaumont continuera de mener sans faiblir le combat contre l'extrême droite fascisante, sa xénophobie, ses idées ultra-libérales, ses mensonges et ses manipulations !